06 septembre 2004, 0h00
Partager
Le pétrole a tenu la vedette cet été, frôlant les 50 dollars le baril à New York. L’Agence internationale de l’énergie, le bras énergétique des pays de l’OCDE, a alors affirmé que la fameuse «exubérance irrationnelle des marchés» s’était emparée du pétrole. Son directeur exécutif Claude Mandil a fait part de sa préoccupation et a tenté à plusieurs reprises de calmer les marchés «juste avec des mots», dit-il. Car pas question de toucher aux réserves stratégiques, elles ne sont pas là pour ça et n...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT