21 février 2008, 0h00
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Et pourtant les stocks se reconstituent. Et pourtant la demande est régulièrement revue à la baisse. C’est alors que le baril a clôturé au-delà des 100 dollars à New York. Cherchant sa voie loin des actions, comme le relevait hier Goldman Sachs dans un commentaire visant à confirmer un prix du brut à 95 dollars en moyenne en 2008.
Comme bon nombre d’autres matières premières , le pétrole tutoie donc ses plus hauts, mais, précisent Jeffrey Currie et son équipe, «les composantes structurelles e...
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