29 décembre 2008, 0h00
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Le retour de balancier a été brutal. Mi-juillet, le monde a abandonné son obsession d’un épuisement rapide des ressources naturelles pour embrasser passionément la thèse d’une demande assommée par la récession et le gel du crédit. Résultat: une brutale inversion des positions longues sur l’énergie, les infrastructures et les pays émergents, short sur le dollar et les valeurs financières. La bulle qui avait propulsé le baril de brut vers un sommet historique de 147 dollars à mi-juillet s’est donc...
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