14 août 2008, 0h00
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françois Othenin-girard
À Lausanne
Le condor péruvien profite des courants ascendants pour s’envoler, toujours plus haut. Scrutant le ciel, les investisseurs renouent avec les rêves dorés du conquistador Francisco Pizarro. Malgré un tassement en début d’année, la capitalisation boursière du Pérou vaut 3,2 fois plus qu’en 2005. Méconnue, donc peu onéreuse, la valeur péruvienne séduit grâce à la robustesse de ses fondamentaux et à sa force exportatrice. Au premier trimestre, les investissements ...
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