21 mars 2001, 0h00
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«D’ici quelques années, les entreprises horlogères qui ne pourront pas assurer au moins 100 millions de francs de chiffre d’affaire n’existeront plus», disait Franco Trapani, PDG de Bulgari, l’une des grandes marques du luxe horloger. Cette analyse est sans aucun doute juste quoique un peu sommaire. Elle ne tient pas compte d’un certain nombre de paramètres et des spécificités de certaines entreprises horlogères. En d’autres termes, si le propos justifie les concentrations opérées depuis quelque...
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