23 mars 2000, 0h00
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«Le soir, après le travail, je mettais mes souliers de marche et je grimpais jusqu’à la dent de Vaulion. J’avais le temps, nous n’allions pas au restaurant. Tout en montant, je réfléchissais sur ce qu’il fallait faire. Une fois en haut de la montagne, je regardais cette vallée de Joux, son lac, ses lumières douces, rasantes du jour qui s’éteint peu à peu. J’y voyais les vraies valeurs de la vie, là à mes pieds. Et ces instants m’ont permis de trouver des solutions, d’imaginer une stratégie, de c...
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