05 février 2001, 0h00
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Depuis la rupture avec éclats du mariage avec le transporteur néerlandais KLM au printemps 2000, les désaccords étaient devenus récurrents entre la direction de la compagnie et le gouvernement, qui contrôle la société à 53,013%.
Les difficultés financières traversées par la société au cours de l’année 2000, en raison du renchérissement du prix du kérosène et du retard pris par le développement de l’aéroport milanais de Malpensa, ont grandement contribué à exacerber les tensions. M. Cempella repr...
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