28 octobre 2004, 0h00
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La raison l’a emporté et tant pis pour le spectacle. En acceptant de reporter son vote d’investiture de la nouvelle Commission européenne, le Parlement a fait preuve de bon sens. En recalant José Manuel Durão Barroso et son équipe – ce qui se serait vraisemblablement produit si le Portugais n’avait pas réclamé un délai de grâce pour remanier la composition de l’Exécutif communautaire qu’il va présider – les eurodéputés auraient affiché à outrance leur pouvoir dans l’Union européenne. Ils auraien...
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