02 juin 2005, 0h00
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On connaît Paul Grüninger, fonctionnaire de police saint-gallois, qui a ouvert la frontière à des milliers de juifs en 1938 (réhabilité en 1995 seulement), ou Carl Lutz, consul général de Suisse à Budapest, qui a distribué des laisser-passer à 50.000 juifs. Il y a aussi ceux, moins connus, qui sont devenus passeurs pour des gens persécutés, à la mesure de leurs moyens.
30.000 «petits»
Et il y a les «petits», ceux que les circonstances ont amenés à aider des fugitifs à passer en Suisse, une foi...
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