22 mai 2002, 0h00
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A défaut d’une quelconque marge de manœuvre budgétaire, le ministre des Finances, Hans Eichel (SPD), peut se réjouir des pressions récentes sur le pacte de stabilité signé en 1997 par les pays-membres de l’Union Européenne. Son chef, le chancelier Gerhard Schröder (SPD), n’est pas le seul à trouver excessive la règle selon laquelle le déficit budgétaire ne peut atteindre les 3% du PIB prévus par le contrat de Maastricht qu’en cas d’urgence, et selon laquelle les déficits publics sont censés s’ap...
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