14 mai 2002, 0h00
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Il devra batailler aussi âprement avec les acheteurs qu’avec le pouvoir politique. Il devra être aussi sensible à la Suisse latine qu’à la Suisse alémanique. Il devra connaître à fond les rouages de la grande économie nationale et mondiale. «Il», c’est le successeur de Melchior Ehrler à la tête de l’Union suisse des paysans (USP). Plusieurs politiciens-agriculteurs en font le portrait-robot.
John Dupraz, vice-président de l’USP, le voit d’abord fin connaisseur des problèmes agricoles et très au ...
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