Le nouveau nationalisme pourrait coûter cher aux actionnaires

La bataille Vodafone-Mannesmann reste dans les mémoires et les commentaires offensés qualifiant les multiples petits achats faits par des étrangers en Allemagne datent de quelques mois. Depuis, en France, les autorités gouvernementales sont montées deux fois au créneau. La première pour Danone menacée de reprise par une entreprise américaine qui n’en avait encore pas exprimé le désir, la seconde faisant suite à l’offre de Mittal sur Arcelor qui suit son cours. Dans la foulée, sentant que l’itali...