22 avril 2005, 0h00
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La multiplication des sondages – on en est à vingt-et-un! – indiquant la possibilité d’un refus du traité constitutionnel par l’électorat français est aussi débattue sur les marchés financiers. Depuis début avril, les grandes banques multiplient les études et les investisseurs demandent à leurs conseillers d’évaluer les conséquences financières d’un éventuel refus.
Un non français n’aurait pas seulement pour conséquence de mettre la France à l’écart de la construction européenne. Pour entrer ...
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