28 octobre 2003, 0h00
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Les élections fédérales du 19 octobre ont été une journée noire pour certains europhiles notoires comme le radical bernois Marc F. Suter, président du Nouveau mouvement européen suisse (NOMES) ou la libérale genevoise Barbara Polla. Ils n’ont pas été réélus. L’avance massive de l’UDC (+11 sièges) permet de plus de prédire que toute tentative de dégéler la demande d’adhésion déposée à Bruxelles rencontrerera une féroce opposition.
Le nombre de parlementaires «labellisés» par le NOMES, c’est-à-di...
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