02 novembre 2006, 0h00
Partager
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Conseil fédéral a pris son temps. C’est en 1997 que le conseiller national Jean-Claude Rennwald (PS/JU) a déposé un postulat, demandant que le gouvernement se penche sur l’évolution du travail précaire en Suisse. Le Jurassien soupçonnait alors que les emplois avec contrat à durée déterminée, la location de services, le travail sur appel etc. avaient connu une expansion inquiétante durant les années 1990.
Le travail précaire concene moins de 4% des salari...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT