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Le niet de Bush au protocole de Kyoto n’est pas isolé

L’ère des contrôles stricts des émissions polluantes devrait être prodigieusement profitable pour le secteur des services financiers: les seuls échanges de droits d’émettre du carbone pourraient atteindre 75 à 145 milliards de dollars par an.

28 mai 2001, 0h00
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Le réchauffement de la planète se confirme et un consensus de plus en plus large de climatologues reconnaît que parmi les coupables se trouvent les gaz à effet de serre; et que l’homme est largement responsable de l’accroissement de leur émission dans l’atmosphère. Même les experts du MIT, qui initialement critiquaient l’absence de pondération des probabilités de réchauffement situées entre 1,4 et 5,8 degrés, ont reconnu après avoir effectué leurs propres calculs que si rien n’est entrepris, le ...
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