06 mai 2009, 0h00
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Qui a dit qu’il était nécéssaire d’avoir de nombreux amis pour faire une jolie carrière et rester aux commandes d’une multinationale? Josef Ackermann est aux dires mêmes du quotidien munichois Süddeutsche Zeitung «un des patrons les plus détestés en Allemagne. Il est l’ennemi suprême de ceux qui ont toujours douté du capitalisme». Son arrogance, son salaire pharaonique, sa dureté, son langage sans concession, son intransigeance… Tous ces traits de caractère ont fait du patron de la Deutsche Bank...
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