21 octobre 2015, 23h06
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Rien de tout cela ne serait arrivé sans l’intuition de Nicolas Hayek, qui avait cru au début des années 1990 à la relance d’Omega à travers l’échappement co-axial. Ce qui n’était au départ qu’une amélioration technique de la montre mécanique, compliquée et invisible au non spécialistes, est devenu la tête de pont de la communication de la marque, jusqu’à inspirer l’innovation dans le domaine de la certification chronométrique. Un domaine qui n’a pas été dépoussiéré depuis les années soixante. Ni...
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