18 août 2003, 0h00
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Les Américains ont des expressions pour tout. S’agissant de caractériser le débat qui fait rage sur les responsabilités de la grande panne électrique de jeudi dernier, ils appellent cela le «blame game». C’est très démagogique. Cela consiste à accuser le plus petit dénominateur commun.
Personne n’avait, ce week-end, d’idée vraiment précise des origines de la panne. Mais une fois l’hypothèse terroriste écartée, qu’importaient les principes désuets du recoupement des faits face à l’efficacité d...
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