27 septembre 2000, 0h00
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Il s’agit, en général, d’actes politiques dictés par la grogne populaire, et non basés sur les réalités économiques qui font que le marché a besoin de trouver un équilibre à des niveaux qui dérangent tout le monde.
Le Maître (Alan Greenspan) et la BCE ont peut-être écrit un chapitre tout nouveau sur le marché des changes, un changement qui va sans doute marquer ce troisième trimestre 2000. En effet, les banques centrales ont attendu le dernier moment pour soutenir une monnaie qui était abandonné...
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