31 mai 2005, 0h00
Partager
Les électeurs français ayant refusé dimanche la Constitution n’avaient peut-être pas prévu que leur vote allait faire monter les taux dans leur pays. Inquiets de l’incertitude institutionnelle créée par le rejet du projet de traité européen, les marchés ont indiqué, sans hâte ni passion mais sans ambiguïté non plus, où allaient leurs préférences. Pour les obligations, c’est la dette publique allemande qui recueille leurs suffrages, au détriment des titres du Trésor français. Pour les actions, la...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT