07 octobre 2008, 0h00
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Tous azimuts, les nouvelles sont mauvaises. Le marché des capitaux est dévasté, et pratiquement inaccessible à tout émetteur ne présentant pas les meilleures garanties de solvabilité. Les débiteurs qui répondent encore à ces critères font figure d’espèces en voie d’extinction: seuls les gouvernements inspirent encore confiance. Encore faut-il nuancer cette affirmation en relevant une différenciation de plus en plus marquée entre les pays. A titre d’illustration, les emprunts de l’Italie intègren...
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