06 février 2004, 0h00
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Fruit de compromis politiques multiples, la réforme dessinée par le ministre de l’Economie Giulio Tremonti pour garantir une meilleure protection aux épargnants après le krach de Parmalat suscite déjà de sérieux doutes.
«J’ai l’impression que le gouvernement a cherché à envoyer un message rassurant en direction des épargnants plutôt que mettre en oeuvre une véritable réforme», estime un coutier milanais, vieil habitué des salles de marché italiennes ne souhaitant pas être nommé.
Noyau dur ...
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