11 octobre 2005, 0h00
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Cela n’a finalement rien –voire peu – à voir avec Katrina et autre Rita, mais le marché des dérivés climatiques est en train de battre tous ses records. S’il demeure un secteur qui s’échange essentiellement de gré à gré, il a une partie émergente bien visible sur le Chicago Mercantile Exchange (CME). Et la place américaine a enregistré depuis le début de l’année 650.000 contrats échangés. En avril, son record de l’an dernier était déjà dépassé (122.987) et celui de 2003 balayé (19.094). En valeu...
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