04 mars 2005, 0h00
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«Dites-nous combien de millions de dollars il vous faut et nous débourserons», lançait avant-hier à Amsterdam un représentant de Cargill à l’adresse de la représentante de la Convention internationale sur le climat, Christine Zumkeller. Cargill n’est pas la seule société à faire pression sur les responsables chargés, au sein de la Convention, d’évaluer et d’approuver les projets de «développement propre» implantés dans les pays dits en développement, non soumis à des objectifs de réduction des g...
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