16 septembre 2005, 0h00
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En février dernier, le rachat annoncé par Novartis de l’américain Eon Labs et de l’allemand Hexal pour plus de 8 milliards de dollars devait assurer au groupe bâlois une place de numéro un mondial sur le marché des médicaments génériques. Quelques mois plus tard, le leader traditionnel du secteur, l’israélien Teva Pharmaceuticals, est venu une nouvelle fois bousculer la donne, en annonçant, fin juillet, la reprise de l’américain Ivax pour 7,4 milliards de dollars, signalant du même coup que la c...
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