24 octobre 2003, 0h00
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Que l’on traite le sujet d’un côté comme de l’autre, le nombre d’opportunités criardes d’investissement sur le marché des actions, en Suisse en particulier, s’est raréfié depuis mars 2003. Toutefois, cela ne signifie pas que l’on est entré à nouveau dans une zone de surévaluation. Du coup, les Bourses peuvent avoir encore du champ devant elles, même si la peur d’une faible croissance en 2004 entraîne actuellement une consolidation des marchés (voir également l’article de Jean-Louis Richard).
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