11 février 2009, 0h00
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Les plans de restructuration se succèdent. L’une après l’autre, les entreprises annoncent des suppressions de postes. Entre lundi soir et mardi, ce ne sont pas moins de 15.000 emplois qui sont partis en fumée aux quatre coins du monde. Aux Etats-Unis, General Motors a affirmé qu’il allait se séparer de 10.000 de ses collaborateurs administratifs (lire en page 24). Toujours outre-Atlantique, Fedex a évoqué le chiffre de 900 emplois sur 130 sites, évoquant «une conjoncture économique sans précéden...
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