15 février 2000, 0h00
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Le marché de l’art n’échappe ni à la libéralisation des échanges en Europe ni au phénomène de mondialisation. Les objets d’art dits «hauts de gamme», à savoir ceux qui ont le plus de valeur, intéressent une clientèle internationale. Ils constituent une masse flottante à la recherche des meilleurs lieux de valorisation, la clientèle (acheteurs et vendeurs) étant internationalement mobile.
La domination croissante des Etats-Unis et du Royaume-Uni sur le marché atteste une forte attractivité de la ...
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