Le marché ajuste lui-même les salaires des patrons

La valse des patrons commence à donner le tournis. D’UBS Capital au CSFB, de Sulzer à Gavazzi, d’Invensys à Alcatel ou Siemens, les récents départs sont motivés par l’incapacité à répondre aux objectifs, par une nécessaire adaptation aux nouvelles conditions de marché, ou par un changement stratégique. La baisse des actions a souvent incité le conseil d’administration à prendre cette décision. Et si les cours d’ABB, Roche ou Zurich ne se reprennent pas, Percy Barnevik, Franz Humer ou Rolf Hüppi ...