14 janvier 2011, 0h00
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Depuis la publication en 1964 de l'ouvrage de Max Imboden, le thème du malaise helvétique occupe une place centrale dans le débat politique. Il a même connu un regain d'intensité ces dernières années. Inadaptation des institutions aux problèmes d'une société moderne, lenteur quand ce n'est pas paralysie du processus de décision, faiblesse du gouvernement résument le diagnostic de nombre de commentateurs et d'analystes académiques.Pourtant les Suisses, dans leur grande majorité, se déclarent sati...
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