14 décembre 2004, 0h00
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Le ministre russe des Télécommunications Leonid Reïman – dont le comportement dans le cas VimpelCom démontre un parti pris étonnant (voir notre édition d’hier) – n’est peut-être qu’un pion dans cette ténébreuse affaire. Le chef du Kremlin pourrait être à la tête des manœuvres destinées à faire chuter le groupe de l’oligarque Mikhaïl Fridman, propriétaire du deuxième opérateur de téléphonie de Russie. Pourtant, contrairement à Mikhaïl Khodorkovski, ancien patron de Ioukos, le patron de VimpelCom ...
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