06 février 2007, 0h00
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Dans une chronique publiée le 25 janvier dernier dans les colonnes de «L’Agefi», Guy Mettan s’attaque à la vulgate moderne selon laquelle nos sociétés à la fois sécularisées et pluralistes seraient gravement menacées par l’actuel «excès de foi» qui jaillit aux quatre coins du monde. Je partage son avis dans une large mesure. S’il faut redouter les intégrismes, de toute nature, il apparaît trop abrupt de priver notre modernité de toute dimension religieuse sous prétexte que cette dernière n’enfan...
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