02 mars 2005, 0h00
Partager
«La force seule n’est rien», s’est un jour exclamé Napoléon. Peut-on en conclure qu’il faut renoncer à l’usage de la force comme l’espèrent ceux qui parlent plus volontiers de multilatéralisme onusien que de frappes militaires? Non, car Napoléon n’a pas dit que la force n’était rien. Il a seulement dit qu’à elle seule elle n’apportait rien. Il faut donc pouvoir y recourir tout en sachant qu’elle n’est qu’un élément dans les équations terriblement complexes de l’action humaine. Il est légitime d’...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT