02 juin 2000, 0h00
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Le rachat d’Orange par France Telecom rappelle la bêtise des conditions imposées, sous l’emblème de la politique dite de la concurrence, à Vodafone lors de son rachat de Mannesmann. Bruxelles n’a accepté le rachat de l’allemand par le premier groupe de téléphonie mobile qu’à deux conditions. D’abord vendre Orange. Ensuite interdire à Vodafone d’offrir des tarifs de «roaming» plus bas que la concurrence pendant trois ans. Le Wall Street Journal a raison de crier au scandale. Orange, associé à Fra...
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