02 mai 2006, 0h00
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A chacun son Sudoku. Pour le juge Peter Smith, qui s’occupait du procès en plagiat concernant le best-seller planétaire Da Vinci Code, son Sudoku a consisté à dissimuler un mystérieux message dans les 71 pages du verdict. Pour ce faire, ce message avait été codé selon une formule mathématique dite «séquence de Fibonacci», qui occupe une place importante dans le livre. Pour mettre les esprits curieux sur la piste, le juge avait formé l’expression «Smithy Code» – allusion à son nom et au titre du...
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