22 juillet 2005, 0h00
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Accusés d’avoir baissé la garde peu de temps avant la première vague d’attentats qui a meurtri Londres, les services de sécurité britanniques avaient prévenu: la capitale du royaume n’était pas à l’abri de nouvelles attaques. Mais, alors que la police donnait un grand coup de pied dans la fourmilière, on aurait pu penser que les fameuses «cellules dormantes» s’étaient sagement réassoupies. Pour un temps, du moins.
Un réservoir inépuisable de kamikazes
Les attaques qui se sont produites hie...
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