01 avril 2011, 0h00
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La wonder week bâloise a une énième fois rappelé la nature hypercommunicante de l'industrie horlogère. Le pic de survisibilité peut irriter. Il interroge surtout. L'activité est certainement très gratifiante, très emblématique, voire patrimoniale. Mais elle n'est pas aussi déterminante qu'il y paraît. L'horlogerie reste la troisième branche d'exportation, très loin derrière la pharma, loin derrière l'industrie des machines. Sur les 204 milliards de francs de biens exportés en 2010, seuls 16,2 mi...
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