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Le jeu de dupes de la défiscalisation

L’abandon du secret bancaire et l’acceptation de l’échange automatique d’informations sans amnistie couteraient 100 milliards par an à la Suisse.

22 février 2010, 0h00
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La part de marché de la Suisse dans les services financiers – jusqu’à récemment, le pays accueillait environ 35% de l’épargne privée mondiale – accuse une diminution considérable, sous l’effet d’une multitude de facteurs: les crises récentes, notamment depuis 2008 et 2009; l’érosion du secret bancaire; l’imposition des clients en Suisse; l’entraide fiscale; la concurrence entre centres financiers, tels que les USA et la Grande-Bretagne, la Chine et Singapour, les Emirats et les multiples paradis...
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