31 juillet 2001, 0h00
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Il y a un siècle l’Argentine appartenait au groupe des dix pays les plus riches du monde. La faiblesse de ses institutions politiques l’a progressivement reléguée à un rôle beaucoup plus modeste. Pour repartir, il a fallu enlever aux politiciens deux leviers importants, la monnaie d’abord, dans le cadre de la dollarisation des années 90, et les déséquilibres budgétaires aujourd’hui, avec le «deficit cero». Mais personne ne sait si cela suffira. Le Japon risque d’emprunter la même voie.
Koizumi t...
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