18 septembre 2000, 0h00
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La fusion des organisations patronales suisses est une bonne chose. Elle intervient au moment où les structures de l’économie helvétique ont considérablement évolué, à tel point que la nomenclature officielle des branches d’activité ne correspond plus à la réalité vécue sur le front des affaires. Les organisations patronale, comme les syndicats ouvriers, ont besoin d’une nouvelle vision et d’outils mieux adaptés aux réalités d’une économie qui ne divise plus simplement entre grandes et petites ...
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