25 août 2006, 0h00
Partager
Immédiatement après la guerre d’octobre 1973, le monde arabe s’est réjoui de voir le mythe de l’invincibilité de l’armée israélienne ébranlé par l’armée égyptienne qui avait franchi le canal de Suez et par l’offensive syrienne à travers le Golan. En Israël, les responsables politiques et militaires ont été sévèrement critiqués pour la perte de 3000 soldats dans une guerre qui s’est terminée sans victoire décisive. Le premier ministre, Golda Meir, le ministre de la Défense, Moshé Dayan, le respon...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT