28 juillet 2005, 0h00
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Le titre 4M Technologies, qui s’échange actuellement autour de cinq francs, est presque oublié sur les marchés. Les investisseurs, las des déconvenues successives du groupe spécialisé dans les machines à produire des supports CD et DVD, se sont détournés de l’entreprise.
On se souvient qu’au début 2002 déjà la société, exsangue, devait sa survie à l’intervention de Nicolas Grey, Stephen Grey et Georges Blum, qui s’étaient réunis en un pool d’investisseurs nommé Pegasus. Pourtant, à coups de res...
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