14 décembre 2007, 0h00
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A Ginza, quartier chic de la capitale nipponne, les passants se pressent devant sa nouvelle vitrine. Pierre Marcolini y a ouvert, au printemps dernier, sa dernière boutique. Salon de thé inclus. Un savoir-faire traditionnel conjugué à un raffinement que les clients paient cher. Certaines de ses créations atteignent des sommets presque aussi élevés que ceux du cours de baril de pétrole. Une perle pour Nestlé, désireux de renforcer sa position sur ce segment. Moins d’un moins après avoir racheté l...
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