21 janvier 2005, 0h00
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Par onze voix contre six, et une abstention, le conseil de l’Université de Neuchâtel a adopté hier le plan d’intentions du rectorat. Le projet, qui implique la disparition de l’enseignement de l’italien et du grec, quitte donc l’institution. Au grand soulagement du recteur Alfred Strohmeier. Les politiques héritent de ce dossier qui agite le canton depuis quelques semaines.
Les cris des étudiants et du corps intermédiaire, ainsi que le soutien populaire exprimé au cours de plusieurs manifestati...
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