21 décembre 2004, 0h00
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Depuis la récession de 2001, David Rosenberg, le chef économiste de Merrill Lynch, s’affichait plutôt dans le camp des optimistes. Stephen Roach, son alter ego chez Morgan Stanley, s’est fait l’infatigable pourfendeur des déséquilibres américains prévoyant les pires scénarios. Hier, leurs chemins intellectuels se sont croisés. Et ils ont troqué leurs opinions.
En effet, alors que jeudi dernier, dans sa livraison hebdomadaire, Stephen Roach révisait à la hausse de 0,4% ses prévisions de croiss...
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