03 novembre 2009, 0h00
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«Nous sommes sur les barricades. Et nous avons, comme d’habitude, le soleil dans les yeux.» Filippo Lombardi, le conseiller aux Etats tessinois, décrit la guerre commerciale déclenchée par l’Italie et les répliques possibles. Le sénateur préconisait le gel des négociations de double imposition. Hans-Rudolf Merz l’a suivi et a pris cette décision. «C’est l’un des trois signaux que Berne a envoyés à Rome, analyse Filippo Lombardi. Il faut montrer notre fermeté et imposer le respect.»
Ces trois ...
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