18 novembre 2008, 0h00
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La situation a désormais l’avantage d’être clarifiée. Berlin ne va pas aider toutes les industries allemandes qui courbent l’échine sous le poids de la crise économique. Et ce quelle que soit leur «valeur» symbolique… Le gouvernement fédéral a tenu à mettre, hier, les points sur les «i». Alors que la chancelière se préparait à rencontrer les dirigeants d’Opel afin de trouver une solution visant à sauver la filiale de General Motors (GM) qui souffre des graves problèmes de trésorerie de sa maiso...
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