19 octobre 2007, 0h00
Partager
C’est en toute sérénité que Nestlé a affronté la vague haussière du prix des matières premières. La nouvelle direction n’a plus qu’à suivre la marche. Car Nestlé avait vu juste. En bon capitaine, Peter Brabeck, futur ex-CEO du leader mondial de l’agroalimentaire, avait pressenti le coup de vent. Le navire veveysan s’était suffisamment préparé au renchérissement du cacao, blé et café grâce à la bonne gestion de ses approvisionnements. Ce qui lui a permis de jouer sur ses prix. Seul hic, ses produ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT