27 octobre 2008, 0h00
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2000 kilomètres. C’est la distance à partir de laquelle le transport maritime de gaz liquéfié (GNL) devient plus avantageux que la livraison par pipeline de gaz sous sa forme première. «Au fur et à mesure que les ressources proches des habitations s’épuisent, les chances des réserves plus lointaines de s’imposer deviennent plus importantes». Le raisonnement de François Guilhamon, directeur d’Essent Trading à Genève, est d’une logique implacable. Et il illustre parfaitement l’ouverture d’un march...
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